Organisme social du Personnel des Industries électrique et gazière, la Caisse Mutuelle Complémentaire d’Action Sociale Bourgogne est chargée de dispenser et développer les Activités sociales et l’Action sanitaire et sociale des agents statutaires actifs et inactifs des IEG, et leurs ayants-droit, de son territoire.
La CMCAS est administrée par un Conseil d’Administration de 24 membres (agents statutaires en activité et inactivité de service) élu pour 3 ans à bulletin secret (sur liste syndicale) par l’ensemble des agents des Industries Electrique et Gazière de son territoire Les prochaines élections auront lieu en novembre 2017.
Le CA se réunit régulièrement (environ 6 par an) pour aborder les questions essentielles au fonctionnement de la CMCAS et prendre les décisions relatives au fonctionnement des Activités Sociales, des Commissions et des Sections Locales de Vie (SLVie).
A l’image d’un fonctionnement municipal, des commissions sont mises en place pour aider le Conseil d’Administration dans ses décisions et orientations.
Le fruit d’un combat
Les Activités sociales sont nées de la Nationalisation des Industries électrique et gazière, dont découle le Statut National du personnel. Ces Activités sociales font partie du mouvement ouvrier et sont le résultat de la marche et des luttes pour le progrès et la démocratie. Elles sont au cœur d’un combat syndical permanent pour pérenniser leur existence et faire progresser les acquis.
Les Activités Sociales sont gérées exclusivement par les personnels des Industries Électrique et Gazière (IEG). Elles sont placées sous la responsabilité pleine et entière des organisations syndicales représentatives du personnel. Cette prédominance puise sa légitimité dans une représentativité d’autant plus marquée qu’une forte syndicalisation existe au sein des IEG et que les taux de participation aux élections sont élevés.
Les activités sociales sont une partie du fruit du travail des agents des IEG. C’est une rétribution de leur travail collectif, de la mise en commun des intelligences et des compétences qui ont permis la réussite des établissements. Elles sont partie intégrante du travail et ne sauraient être coupées de l’entreprise et des hommes et des femmes qui la font, et en constituent la première richesse.